Ah oui ! Ktl va être contente (décidément, je pense beaucoup à toi)... voici le peintre dont je parlais dans mon scoop.
Un peintre exceptionnel et un type sensationnel en une seule personne.
Il va sans dire que si je ne l'appréciais pas, mon fils ne porterait pas le même prénom.
C'est Marc Desgrandchamps.
Photo de l'entrée de la galerie Zürcher, à Paris, où il expose en ce moment (que j'ai prise ce week-end). Et je vous laisse chercher un peu par vous-mêmes, parce que quand même, ça ne vous fait pas de mal.
5 commentaires:
Je viens de ragarder ce qu'il fait, je crois que je vais pousser jusqu'à la galerie la semaine prochaine...
alors là, je ne connaissais pas du tout...
J'ai été choqué en voyant cette expo de desgrandchamps ; en effet, cette série d'immeubles est assez nouvelle pour lui ; et étrangement il a été confronté l'année dernière au cours de la sélection de "novembre à Vitry", dont il était jury, et plus récemment par l'intermédiaire de Philippe Dagen, aux toiles d'un jeune peintre, jéremy Liron (http://www.lironjeremy.com/), qui ressemblent beaucoup (mais en mieux) à cet accrochage.
Quelle étrange coïncidence !
Manquerait-il d'inspiration ?
Alors on sait que la peinture se donne dans la matière, qui est assez différente de l'un à l'autre ; mais les couleurs, les sujets, les cadrages, les compositions...
Il n'y a pas à être choqué, je pense, de quoi que ce soit. Les dernières oeuvres de M.Desgrandchamps sont très fidèles à ce qu'il a fait jusqu'à présent. Le thème de la ville et de l'architecture est nouveau, c'est vrai, mais il n'est pas l'apanage d'un peintre. Les couleurs, en particulier les bleus, sont aussi présents depuis longtemps et ne ressemblent pas du tout à ce que je vois de Jérémy Liron. D'autre part, et s'il s'agit de "qui copie qui", petit jeu qui ne me plait guère, je vois aussi des coulures chez Liron, qui sont bien la marque de M.Desgrandhcamps depuis fort longtemps. Et je ne parlerai même pas des cadrages ni des compositions. Je trouve ces réflexions un peu vaines.
Par ailleurs, ce serait chouette, quand on écrit des trucs comme ça, de ne pas rester anonyme.
mon nom n´a que peu d´importance tant que je ne suis pas Liron ; ensuite je vous concéde que le qui copie qui est un jeu fatigant ; sauf que c´est le cas d´un jeune artiste confronté à quelqu´un de plus connu, et quelque chose me géne.
Tout ce que vous dites est assez juste, mais il reste ce curieux "timing".
Et Desgranchamps autant que Dagen d´ailleurs, connaissant le travail de Liron (Dagen lui a fait une préface il y a 3 mois), auraient put en profiter pour l´évoquer je crois.
Car il ný a pas de problème à avoir des similitudes avec quelqu´un, tant qu´on les dit...
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